Sainte-Fauste

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Sainte-Fauste
Sainte-Fauste
Vue générale de la commune en 2012.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Issoudun
Intercommunalité Communauté de communes Champagne Boischauts
Maire
Mandat
Jean-Marc Brunaud
2020-2026
Code postal 36100
Code commune 36190
Démographie
Gentilé Faustéens
Population
municipale
262 hab. (2021 en diminution de 5,07 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 29″ nord, 1° 51′ 58″ est
Altitude Min. 142 m
Max. 168 m
Superficie 23,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ardentes
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sainte-Fauste
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Sainte-Fauste
Liens
Site web sainte-fauste.fr

Sainte-Fauste est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'est[1] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

Les communes limitrophes[1] sont : Neuvy-Pailloux (3 km), Diors (4 km), Thizay (6 km), Brives (6 km), Vouillon (6 km) et Mâron (6 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Ardentes (13 km), Issoudun (14 km), Châteauroux (14 km), La Châtre (32 km) et Le Blanc (66 km).

Carte
Localisation de la commune de Sainte-Fauste

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Bideauderie, Ablenay et les Sarrays[2].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3]. Elle est bordée au nord sur moins d'un kilomètre par la Vignole.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 728,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 12, 12E et 925[10].

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Neuvy-Pailloux[10], à 3,5 km.

Sainte-Fauste est desservie par la ligne D du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 17 km.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainte-Fauste est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), forêts (16,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), prairies (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 137
Résidences principales 83,8 %
Résidences secondaires 9,1 %
Logements vacants 7 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 93,8 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sainte-Fauste est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Maron, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Fauste.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 145 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 142 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune fait référence à sainte Fauste, une martyre chrétienne du IVe siècle dont certaines reliques ont été transférées en Berry au XIIIe siècle[24].

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour La Ferté-les-Bois[25].

Ses habitants sont appelés les Faustéens[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le secteur de Sainte-Fauste a été occupé par les hommes depuis la Préhistoire comme en témoigne la présence d'un tumulus (aux environs du lieu-dit la Bidauderie) dans lequel une urne funéraire a été découverte. Des outils en silex ont également été trouvés à proximité ainsi que trois enclos circulaires, peut-être des tumulus arasés. L'époque gallo-romains semble assez faste à Sainte-Fauste. On retrouve de nombreuses traces de cette époque.

Des cuves de sarcophages ou des urnes funéraires ont été déterrées au hasard des travaux agraires, aussi bien dans le secteur du Brossat que celui du Petit Moulin à la sortie de Sainte-Fauste en direction de Neuvy-Pailloux. Mais, c'est sur le secteur du Grand Bois (à proximité du lieu-dit la Godinerie) que l'activité humaine semble la plus concentrée. En effet, il existe les vestiges d'une villa gallo-romaine datant du IVe siècle. Ensuite, trois emplacements à tuile, trois pierres sculptées faisant partie d'un autel et trois pièces de monnaie datées du Ier siècle et IIe siècle font penser à l'existence probable d'un sanctuaire en ce lieu. Certains de ces vestiges sont aujourd'hui visibles au musée d'Argentomagus ; enfin, il est pratiquement sûr que l'exploitation du minerai de fer (extraction et fonte) existait déjà à l'époque gallo-romaine dans le secteur du Grand Bois. Cette exploitation s'est poursuivie jusqu'au XIXe siècle.

Peu à peu, de grandes propriétés agricoles, souvent héritées de la période gallo-romaine, vont se développer. C'est l'époque de grands défrichages dans la région afin de gagner de la place pour une population croissante et pour les cultures. Il y avait, aux Sarrays, une abbaye. Les moines ont joué un rôle très important pour notre l'agriculture en asséchant, au fil des siècles, des terres marécageuses pour y produire des cultures. Les propriétaires des domaines agricoles donnent souvent leur nom au lieu-dit (la Bidauderie, la Tripterie, la Godinerie…). Ces exploitations ont besoin d'une importante main d'œuvre : les journaliers et ouvriers se regroupent dans les villages, créant un habitat très concentré. Il s'agit généralement de petites maisons avec un petit jardin à l'arrière comme en témoigne encore aujourd'hui la rue du Château à Sainte-Fauste. L'agriculture de l'époque est loin d'être centrée sur les céréales : des animaux paissent sur ces terres et notamment de nombreux moutons.

La communauté de Sainte-Fauste est en crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 47 feux en 1709 à 42 en 1726[27]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[28].

La commune fut rattaché de 1973 à 2015 au canton d'Issoudun-Sud.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement d'Issoudun, du canton d'Ardentes, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Champagne Boischauts[29].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1890 1926 Raoul Léopold Patureau-Mirand ? Avocat ancien bâtonnier
1926 1942 Alfred Feuillet ? Agriculteur
1942 1944 Albert Petit ? ?
1944 mai 1945 André Dubois ? ?
mai 1945 1952 Armand Beaumont   ?
1952 mai 1953 Maurice Boucault ? Agriculteur
mai 1953 mars 1959 Alfred Feuillet ? Agriculteur
mars 1959 mars 1971 André Lacan ? Avocat
mars 1971 mars 2001 François Gerbier ? Agriculteur
mars 2001[30],[31],[32] En cours Jean-Marc Brunaud DVD[33] Responsable informatique
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 262 habitants[Note 3], en diminution de 5,07 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
385396408483504473463449475
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
482467460467442483484500445
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
427448439461438371330325332
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
299256218230229254261258293
2014 2019 2021 - - - - - -
278270262------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune ne possède pas de lieu d'enseignement.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d'Issoudun[29].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[38].

La culture de la lentille verte du Berry[39] est présente dans la commune.

Autrefois elle eut une importance non négligeable, par l'extraction du minerai de fer, qui était utilisé au XVIIIe siècle, par les forges de Clavières[40] toutes proches, mais cette activité disparue avec la fermeture des forges en 1874.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de la Ferté
  • Château de la Tremblaire
  • Église Sainte-Fauste à simple nef reconstruite en 1878.
  • Monument aux morts

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. « Sainte-Fauste » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Sainte-Fauste et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. a b et c « Sainte-Fauste », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Site de l'Insee : Sainte-Fauste, consulté le 6 septembre 2016.
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Fauste », sur Géorisques (consulté le )
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  21. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  24. Jacques Baudoin, Grand livre des saints : culte et iconographie en Occident, éditions CREER, 2006, (ISBN 978-2-84819-041-9), p. 210-211, consulté le 1er juillet 2015.
  25. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, (lire en ligne).
  26. Site de la commune de Sainte-Fauste : Présentation et résultat du vote pour définir un gentilé des habitants, consulté le 4 novembre 2012.
  27. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 169.
  28. Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
  29. a et b « Commune de Sainte-Fauste (36190) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  30. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  31. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  33. Site du Monde.fr : Sainte-Fauste, consulté le 21 septembre 2016.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  39. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Lentilles vertes du Berry, consulté le 11 novembre 2014.
  40. Château de Bouges, Patrimoine, , p. 7.